C’est une condamnation rare qui a été prononcée hier : Il y a bien eu "faute lourde" de l’État dans la gestion de l’enquête sur la disparition d’Estelle Mouzin il y a plus de 20 ans, victime de Michel Fourniret. C’est la décision rendue par le tribunal judiciaire de Paris. Le père de la fillette, disparue à Guermantes en 2003, a obtenu gain de cause et devra être indemnisé à hauteur de 50.000 euros, au titre de son préjudice moral. Guillaume Biet, chef du service Police-Justice à RMC, l’État est donc reconnu responsable des errements de cette affaire…
C’est une condamnation rare qui a été prononcée hier :
Il y a bien eu "faute lourde" de l’État dans la gestion de l’enquête sur la disparition d’Estelle Mouzin il y a plus de 20 ans, victime de Michel Fourniret.
C’est la décision rendue par le tribunal judiciaire de Paris.
Le père de la fillette, disparue à Guermantes en 2003, a obtenu gain de cause et devra être indemnisé à hauteur de 50.000 euros, au titre de son préjudice moral.
Guillaume Biet, chef du service Police-Justice à RMC, l’État est donc reconnu responsable des errements de cette affaire…