Le gouvernement Lecornu II est connu : 34 ministres nommés, tard hier soir, vers 22h. Exit Bruno Retailleau, Agnès Pannier Runacher, Elisabeth Borne ou Eric Woerth... dans le sens inverse, Laurent Nuñez, Jean-Pierre Farandou ou encore Vincent Jeanbrun entrent au gouvernement. En plus de quelques profils issus de la société civile ou d'anciens ministres, des "restants", comme Gérald Darmanin à la Justice, Annie Genevard à l'Agriculture, Rachida Dati à la Culture, ou Jean-Noël Barrot au Quai d'Orsay. "No comment" écrit le patron des socialistes Olivier Faure. Le RN et LFI, chacun de leur côté, ont déjà annoncé qu'ils déposeraient une motion de censure contre ce gouvernement dès aujourd'hui, alors même que le Premier ministre doit recevoir dans la journée ceux qu'il a fraîchement nommés, avant un premier Conseil des ministres mardi à 10h. Les passations de pouvoir sont prévues ce lundi à la mi-journée... mais sans la presse, sans discours et sans invités, demande express de Matignon. Romain Cluzel, les partis politiques réagissent entre scepticisme et presque indifférence.
Le gouvernement Lecornu II est connu :
34 ministres nommés, tard hier soir, vers 22h.
Exit Bruno Retailleau, Agnès Pannier Runacher, Elisabeth Borne ou Eric Woerth... dans le sens inverse, Laurent Nuñez, Jean-Pierre Farandou ou encore Vincent Jeanbrun entrent au gouvernement.
En plus de quelques profils issus de la société civile ou d'anciens ministres, des "restants", comme Gérald Darmanin à la Justice, Annie Genevard à l'Agriculture, Rachida Dati à la Culture, ou Jean-Noël Barrot au Quai d'Orsay.
"No comment" écrit le patron des socialistes Olivier Faure.
Le RN et LFI, chacun de leur côté, ont déjà annoncé qu'ils déposeraient une motion de censure contre ce gouvernement dès aujourd'hui, alors même que le Premier ministre doit recevoir dans la journée ceux qu'il a fraîchement nommés, avant un premier Conseil des ministres mardi à 10h.
Les passations de pouvoir sont prévues ce lundi à la mi-journée... mais sans la presse, sans discours et sans invités, demande express de Matignon.
Romain Cluzel, les partis politiques réagissent entre scepticisme et presque indifférence.