Le budget arrive ce 21 octobre à l'Assemblée nationale et cela commence avec l'examen de la partie recettes, en commission des finances. Quelque 1.800 amendements ont été déposés. Mais le timing est très serré : le gouvernement n'a que 70 jours au total pour le faire adopter. Dans ce contexte, les socialistes sont en première ligne. La semaine dernière, le parti d'Olivier Faure a fait le choix de ne pas voter la censure et de sauver Sébastien Lecornu. Et ce, en échange de la suspension de la réforme des retraites. Pas question pour autant de donner un blanc-seing sur le reste du budget et les mesures qui font grincer des dents. Notre reporter Victor Girerd a suivi Romain Eskenazi, porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée, en déplacement dans sa circonscription du Val d'Oise.
Le budget arrive ce 21 octobre à l'Assemblée nationale et cela commence avec l'examen de la partie recettes, en commission des finances. Quelque 1.800 amendements ont été déposés. Mais le timing est très serré : le gouvernement n'a que 70 jours au total pour le faire adopter.
Dans ce contexte, les socialistes sont en première ligne. La semaine dernière, le parti d'Olivier Faure a fait le choix de ne pas voter la censure et de sauver Sébastien Lecornu. Et ce, en échange de la suspension de la réforme des retraites. Pas question pour autant de donner un blanc-seing sur le reste du budget et les mesures qui font grincer des dents. Notre reporter Victor Girerd a suivi Romain Eskenazi, porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée, en déplacement dans sa circonscription du Val d'Oise.