4 ans après les faits, les remords sont là. Au procès de l'assassinat après une campagne de haine du professeur Samuel Paty le 16 octobre 2020, les juges ont également entendu hier, Ismaïl Gamaev, un des accusés reconnaître sa responsabilité. Depuis mardi, au procès de l'assassinat de Samuel Paty, les accusés sont interrogés sur leur parcours de vie et leur personnalité. Un moment très attendu, notamment pour les parties civiles, qui ont entendu pour la première fois hier Brahim Chnina, 52 ans. Il encourt 30 ans de réclusion criminelle. Le père de la collégienne à l'origine des fausses rumeurs visant l'enseignant décédé, est accusé d'avoir lancé une vaste campagne de haine en ligne. Des faits contestés par l'accusé pendant près de 2 heures hier. L'homme affaibli a tenté maladroitement de s'excuser face aux proches de Samuel Paty, Julie Brault.
4 ans après les faits, les remords sont là. Au procès de l'assassinat après une campagne de haine du professeur Samuel Paty le 16 octobre 2020, les juges ont également entendu hier, Ismaïl Gamaev, un des accusés reconnaître sa responsabilité. Depuis mardi, au procès de l'assassinat de Samuel Paty, les accusés sont interrogés sur leur parcours de vie et leur personnalité. Un moment très attendu, notamment pour les parties civiles, qui ont entendu pour la première fois hier Brahim Chnina, 52 ans. Il encourt 30 ans de réclusion criminelle. Le père de la collégienne à l'origine des fausses rumeurs visant l'enseignant décédé, est accusé d'avoir lancé une vaste campagne de haine en ligne. Des faits contestés par l'accusé pendant près de 2 heures hier. L'homme affaibli a tenté maladroitement de s'excuser face aux proches de Samuel Paty, Julie Brault.