Cinq mois après le procès des viols de Mazan, l'exécutif appelé à améliorer la prévention de la soumission chimique et l'accompagnement des victimes. C'est l'objectif fixé par un rapport remis hier soir, qui demande de débloquer des moyens "dès cette année" : il était très attendu par les celles et ceux qui ont en souffert.
Cinq mois après le procès des viols de Mazan, l'exécutif appelé à améliorer la prévention de la soumission chimique et l'accompagnement des victimes.
C'est l'objectif fixé par un rapport remis hier soir, qui demande de débloquer des moyens "dès cette année" : il était très attendu par les celles et ceux qui ont en souffert.